La poisse s'abat sur les rookies NBA : l'infirmerie fait le plein !

30 septembre 2025
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Salut les gars ! Prenez une bière, asseyez-vous, parce qu'on a de quoi discuter ce soir. La saison NBA, elle a beau à peine pointer le bout de son nez, l'infirmerie, elle, tourne déjà à plein régime, surtout chez les petits nouveaux. C'est le monde à l'envers, je vous dis !

Les Nets et leurs gamins à l'arrêt, déjà !

Tu parles d'un baptême du feu pour les gamins des Nets, Drake Powell et Egor Demin. À peine arrivés au camp d'entraînement que, boum, blessures ! L'entraîneur, Jordi Fernandez, il a dû faire la grimace en annonçant que ses rookies sont déjà sur le carreau. C'est la poisse, ça, non ? T'imagines le stress pour ces mecs ? Ils rêvent de la NBA toute leur vie, ils sont enfin là, et paf, la tuile. Moi, je dis, c'est le genre de truc qui peut te marquer une carrière si tu te remets pas bien, physiquement et surtout mentalement. C'est dur, très dur d'arriver avec une étiquette de blessé avant même d'avoir claqué un dunk en match officiel. On espère que c'est pas trop grave, mais c'est jamais bon de commencer avec le frein à main.

Jared McCain (Sixers) : le pouce en vrac, la saison en péril ?

Et comme si ça suffisait pas, chez les Sixers, c'est Jared McCain qui fait la une, mais pas pour les bonnes raisons. Le gamin s'est déchiré le pouce droit ! Le pouce, putain ! Pour un guard, c'est juste le truc qui te met la saison en mode pause direct. Les Sixers sont déjà en mode "on consulte les spécialistes", ce qui, entre nous, sent jamais bon. On se souvient tous de tel ou tel joueur qui a galéré avec une blessure à la main en début de saison, et on l'a jamais vraiment revu à son meilleur niveau ensuite. C'est une galère pas possible pour McCain qui devait prouver sa valeur d'entrée de jeu. Sa future équipe de rotation risque de prendre un sacré coup si son absence se prolonge. La NBA, c'est impitoyable !

Le dur apprentissage du haut niveau

Franchement, les gars, c'est ça la NBA. Un vrai champ de mines. Tu sors de la draft, t'as la hype, les contrats, et d'un coup, tu te retrouves sur le banc avec une attelle. C'est la dure réalité du sport pro. Il y a la pression de la performance, mais il y a aussi la pression physique monstrueuse. Les corps ne sont pas toujours prêts pour ce rythme de dingue dès la première année. Et pendant que certains se cassent la tête à savoir si LeBron va jouer les prolongations ou si les Celtics peuvent gagner sans Tatum, nos jeunes, eux, ils prient pour revenir sur le parquet. Tiens, en parlant de nouveaux visages, on me dit que Luka a un nouveau colosse de 7 pieds dans les parages aux Lakers, une vraie menace pour le lob. Au moins, lui, il est sur ses deux jambes, hein ? Ça, c'est une bonne nouvelle pour son équipe, qui cherche toujours à pimenter un peu son jeu. Mais pour nos rookies blessés, c'est une autre histoire. C'est la dèche, clairement.

Mon avis de comptoir : la résilience, clé de la réussite

Alors, qu'est-ce qu'on retient de tout ça ? Que la NBA, c'est impitoyable. Ces blessures en début de camp, elles vont tester le mental de ces jeunes comme jamais. Pour moi, c'est clair : Powell, Demin, McCain, ils vont devoir cravacher deux fois plus pour revenir et prouver qu'ils ont leur place. La NBA, c'est pas juste du talent, c'est aussi de la résilience, et là, ils sont servis ! J'espère qu'ils reviendront plus forts, parce que le spectacle en a besoin. Mais pour l'instant, ça sent le roussi pour nos jeunes pousses. Santé !